La réaction d'Alain à ce qui précède consiste à user de ses prérogatives de modérateur sur ATF 40, non seulement pour redoubler d'arbitraire, mais pour trucider des fils intéressants.
MessageSujet: Où va Alain ? Aujourd'hui à 13:45
Sur le fil ci-contre portant sur mers el-Kébir
http://atf40.forumculture.net/les-comba ... .htm#12269 , il s'autorise à faire état d'une correspondance privée en ces termes :
Citation:
je tiens a signaler que Mr Delpla s'autorise a me faire des menaces par messages privés
Le pluriel est de trop. De message il n'y eut qu'un, hier matin, et il consistait seulement à avertir de ceci, qui fut rendu public quelques heures plus tard :
viewtopic.php?f=34&t=180&p=4621#p4621Nous sommes là dans un sommet ubuesque d'abus de pouvoir (je veux parler du verrouillage dudit fil), exercé à parts égales contre moi et contre ceux avec lesquels je débattais, comme sur le précédent fil arbitrairement verrouillé.
La caravane de la recherche historique dispose heureusement d'autres sentiers. De ce point de vue, le sommet est une taupinière !
Je n'ai jamais eu matière à considérer qu'Alain tremblât devant moi -c'est donc encore une accusation mal fondée. En revanche il m'amène à préciser que ses menaces à lui ne m'impressionnent nullement.
Je n'ai jamais pour ma part généralisé à la personne d'Alain, ou à l'ensemble de son travail, les critiques que je croyais devoir lui faire sur telle ou telle affirmation. Je n'ai nulle intention de parler de sa nullité, même en riposte à une telle amabilité me concernant. Notre seul désaccord intéressant est d'ordre intellectuel : il a tendance, à mon avis, à trop autonomiser la logique des décisions militaires (c'est pour cela et parce que, comme l'ont montré des exemples récents, il lit souvent un peu trop vite, qu'il me reproche de ne pas du tout tenir compte du facteur militaire, ou de n'y rien comprendre).
Je regrette donc profondément les phénomènes de hérissement rapide (et de plus en plus) qui font tourner court les échanges.
Et je reste preneur à tout moment, et même très désireux, des précisions sur les possibilités d'évolution de la situation aux abords de Dunkerque s'il n'y avait pas eu d'arrêt allemand le 24 mai, annoncées pour dans deux ans il y en aura bientôt trois.