Le Forum de François Delpla

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MessagePosté: Dim Aoû 16, 2015 9:35 am 
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Le mot de Mr Delpla : 8)

" En attendant, il serait bon que vous vous conformassiez enfin à la charte,
et engagiez une discussion sur l'un des articles du site. "




Mr Delpla m'a demandé aimablement de me conformer à la charte
et d'engager une discussion sur l'un des articles du site.
Soit, je vous propose donc le livre d'un fils de libérateur qui regarde
les évènements passés en face sans préjugés, avec impartialité,
on est loin, très loin de la propagande déversée à longueur de journée
par les médias aux ordres depuis 70 ans.




" Le mythe de l'infamie allemande. "



En cherchant bien, la vérité historique est souvent cachée près de nous,
j'ai trouvé sur le site ALLEMAND d'Amazon, une publicité en ANGLAIS
pour le livre d'un auteur américain, Benton L. Bradberry:

"The Myth of German Villainy"
( "Le mythe de l'infamie allemande" ),
paru le 3 juillet 2012.

Image

Sur l'auteur, le site d'Amazon explique donc en anglais qu'il a été
"officier et aviateur dans l'US Navy de 1955 à 1977, soit un peu avant le début
de la guerre froide et presque jusqu'à la fin.
Sa génération a été inondée de propagande antiallemande et de légendes
sur 'l'Holocauste' [le mot est entre guillemets sur le site]."
Fasciné depuis longtemps par l'histoire de cette période,
il a beaucoup lu et a par la suite beaucoup voyagé à travers l'Europe.


D'un naturel sceptique, il a très tôt commencé à se demander si la 'propagande'
disait bien toute la vérité.
Il a passé des années à rechercher "l'autre version de l'histoire" et a écrit ce livre.
Il est diplômé de l'Ecole navale supérieure de Monterey, en Californie,
et possède également un diplôme en sciences politiques et en relations internationales."

Quant au résumé du livre, en voici une traduction très rapide,
avec ses propres guillemets:


http://www.amazon.de/Myth-German-Villai ... 23182X/ref

< START>

Comme l'indique le titre, "Le mythe de l'infamie allemande",
ce livre traite de l'erreur que l'on commet en présentant l'Allemagne
comme le grand "méchant" de l'histoire.
L'histoire "officielle" de la civilisation occidentale du XXe siècle considère
que c'est l'Allemagne qui a troublé la paix en Europe,
et qu'elle est responsable à la fois de la Première et de la Deuxième Guerre mondiale
,
ce que ne confirment pas les faits.

Pendant ces deux guerres, des récits d'atrocités extravagants ont été inventés
par la propagande alliée pour susciter la haine contre les Allemands
afin d'amener l'opinion publique à être favorable à ces guerres.
La propagande sur "l'Holocauste" qui a fait suite à la Deuxième Guerre mondiale
a renforcé encore cette image de l'Allemagne comme grand méchant de l'histoire.

Mais qu'y a-t-il de vrai dans cette histoire "officielle" ?

L'Allemagne était-elle vraiment le grand méchant de l'histoire ?

Dans ce livre, l'auteur brosse un tableau différent.


Il explique que l'Allemagne n'a pas été responsable
de la Première Guerre mondiale, ni de la Deuxième,
mais qu'au contraire c'est elle qui a été victime de l'agression alliée dans les deux guerres.

L'instabilité résultant de la Première Guerre mondiale avait rendu possible
la Révolution bolchevique de 1917 en Russie, ce qui avait donné naissance
au communisme dans le monde.
Hitler et l'Allemagne ont vu dans le communisme mondial, avec sa base en Union soviétique,
une menace à l'existence même de la civilisation occidentale et chrétienne,
et lui-même et l'Allemagne se sont lancés dans une lutte à mort contre [cette idéologie].
Loin d'être responsable d'avoir troublé la paix européenne, l'Allemagne avait été le rempart
qui avait empêché la révolution communiste de balayer l'Europe.
Le malheur, c'est que les Etats-Unis et la Grande-Bretagne n'ont pas vu
la Russie communiste du même oeil, ce qui, en fin de compte,
a eu des conséquences désastreuses pour la civilisation occidentale.

L'auteur estime que la Grande-Bretagne et les Etats-Unis se sont engagés du mauvais côté dans la guerre.


< END>

"Qui n'entend qu'une cloche, n'entend qu'un son "

PS:
Mr Delpla va-t-il en vertu de la loi-muselière, classer ce livre dans le rayon "négationniste" ? :shock:

_________________
Cordialement.

"Ce qui se conçoit bien, s'énonce clairement,
et les mots pour le dire arrivent aisément."


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MessagePosté: Dim Aoû 16, 2015 12:46 pm 
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Mr Delpla va-t-il classer ce livre dans le rayon "[i]négationniste
" ? [/i]

oui

en vertu de la loi-muselière

de la loi Mitterrand-Gayssot, dite par les antisémites Fabius-Gayssot ?

Non.

Je vous ai dit sur un autre fil viewtopic.php?f=2&t=1008&p=17973#p17973 que j'étais opposé à ce texte.
Il conviendrait de se lire.

Par ailleurs, cette loi condamne la négation du judéocide nazi, et rien d'autre.

Autant je suis d'accord pour minorer la responsabilité de l'Allemagne en 1914 par rapport à ce qu'en disaient les Français chauvins, autant pour 1939 la question ne se pose pas.

Tout mon travail tend à le démontrer mais j'apporterai des précisions sur demande.


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MessagePosté: Dim Aoû 16, 2015 2:16 pm 
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François Delpla a écrit:




Tout mon travail tend à le démontrer
mais j'apporterai des précisions sur demande.



Nous attendons avec impatience les précisions de Mr Delpla.
Il ne s'agit pas de contrarier une « communauté » (sic)
dont le premier souci est de ne porter atteinte ni directement ni indirectement
à
l'un des plus carabinés mensonges de toute l'histoire des hommes :

- celui du prétendu génocide juif (remarquable par le nombre des miraculés qu'il a produits),

- des prétendues chambres à gaz
(magiques par le fait qu'on n'en a vu aucune, fût-ce à l'état de ruines)

- et des six millions de victimes
(chiffre d'autant moins soupçonnable qu'on le trouvait déjà
dans la presse juive américaine bien avant 1900 sous la forme
:


« En ce moment six millions de nos frères sont en train de mourir en Europe.
Aboulez vos dollars. Nous transmettrons
»
).



https://archive.org/stream/TwoHundredSi ... 5_djvu.txt


Fric, mensonge and C° ! Violences, guerres et croisades. Et puis vengeance à perpétuité.

Dans l'attente de votre réponse, cher Mr Delpla.

_________________
Cordialement.

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MessagePosté: Dim Aoû 16, 2015 2:21 pm 
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Vous ne semblez décidément pas d'humeur à commenter le moindre article du site.

Quelle conclusion de mon travail contestez-vous au juste ? avec quels arguments ?


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MessagePosté: Lun Aoû 17, 2015 7:47 am 
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François Delpla a écrit:

Par ailleurs, cette loi condamne la négation du judéocide nazi, et rien d'autre.




La loi anticonstitutionnelle Fabius-Gayssot
viole délibérément l'article 19 de la Déclaration universelle
des droits de l'homme de 1948 et de ce fait est anticonstitutionnelle.

Article 19 :

"Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression,
ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions
et celui de chercher, de recevoir et de répandre,
sans considérations de frontières,les informations et les idées
par quelque moyen d'expression que ce soit
."

http://www.un.org/fr/documents/udhr/

Le devoir de chaque citoyen devant la force injuste de la loi
est de faire de la Résistance et non de la collaboration.

PS: Et ceux qui ne croient pas au Père Noêl aussi ?

_________________
Cordialement.

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MessagePosté: Lun Aoû 17, 2015 8:44 am 
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il n'y a pas plus de loi Fabius-Gayssot que, plus récemment, de loi Bartolone-Macron.

Si on devait accoler au moindre texte le nom du président du parlement au moment de son vote on en gaspillerait, de l'encre !

Ne serait-ce que pour préserver l'environnement, je vous serais reconnaissant de renoncer à cette terminologie, accessoirement antisémite.


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MessagePosté: Lun Aoû 17, 2015 9:22 am 
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Pour complèter le "mythe de l'infamie allemande" le sujet du fil,
la conférence d'un témoin oculaire de la IIè GM;
On attend avec gourmandise l'avis éclairé de notre "spécialiste".


CONFERENCE DE JACQUES VECKER​.



« L'ALLEMAGNE, mythes et réalité »

​donnée au Centre culturel André Chamson
d’Alès (Gard) le 19 mars 2015



Le l9 mars 2015 fut donnée à Alès (dans le Gard) une conférence publique
ayant pour thème « L'Allemagne : mythes et réalité ».
Devant une assistance clairsemée fut évoqué le destin de notre voisin d'outre-Rhin
particulièrement durant le XXe siècle et le début du XXIe.
L'orateur se présenta comme légitime en raison de son origine lorraine,
de son expérience d'adolescent durant l'Occupation, de son séjour parmi les « déportés »
du travail obligatoire (STO) dans « l'antre du diable », enfin, des études et recherches
qu'il entreprit sa vie durant sur le drame majeur de notre époque.




« Mesdames et messieurs,


De nombreux témoins interviennent dans les écoles pour donner leur version des horreurs du siècle.
Tant de mensonges sont répandus qu'il me semble utile de prendre la parole publiquement
à un âge avancé pour dire simplement ce que j'ai vu, ce que je sais de source crédible
et ce que j'ai découvert en allant au-delà des connaissances généralement admises.
Sans passion autre que le désir d'exactitude.
En me préparant à vous conter mon séjour de dix-huit mois dans l'Allemagne hitlérienne,
j'ai craint de déformer la réalité, d'embellir mes souvenirs.
Je disposais heureusement des lettres que j'adressais presque chaque jour à ma mère.
Mon récit est fidèle.
Je n'aurai recours par ailleurs qu'à des documents incontestables provenant pour la plupart des rangs
des ennemis de l'Allemagne, de ses vainqueurs, et aux interviews que j'ai réalisées moi-même
de personnalités et de victimes du IIIe Reich, ainsi qu'à des écrits disponibles en librairie ou en bibliothèque.


Commençons par un rapide survol historique.


Il est bon de rappeler que la France fut le royaume des Francs, peuplade germanique.
Charles Martel, qui, dit-on, arrêta les Arabes à Poitiers, était un roi franc.
Charlemagne avait la même origine. Sa capitale était Aix-la-Chapelle.
Son petit-fils Charles le Chauve, héritier du tiers occidental de l'empire, naquit à Francfort,
aujourd'hui capitale financière de l'Europe, où furent couronnés les empereurs
du Saint Empire romain germanique.
Le 31 octobre 1517, un moine allemand, Martin Luther, afficha 95 thèses dénonçant les scandales
de l'Eglise et particulièrement la vente d'indulgences censées alléger les peines du Purgatoire.
Une des plus horribles guerres de religion fut déclenchée un siècle plus tard par les adversaires
de la liberté d'expression. Durant trente années (1618-1648) fut ravagé le centre de l'Europe.
Plus tard, les campagnes de Napoléon prirent le relais.

L'Allemagne a longtemps été le cœur de la culture.
Madame de Staël rend hommage à « ces hommes les plus instruits et les plus méditatifs de toute l'Europe ».
Napoléon lui tint rigueur de ce jugement et s'opposa à son ouvrage De l'Allemagne.
Gérard de Nerval l'appelle « Notre mère à tous ».
Une constellation de principautés, de duchés et de royaumes se sont partagé le centre de l'Europe
jusqu'à la réalisation de l'unité allemande et la proclamation de l'Empire au château de Versailles
après la défaite de Sedan. Cette guerre avait déjà été déclarée par la France.
Le vainqueur reprit possession de l'Alsace-Lorraine, provinces de culture germanique.
Sans référendum, hélas. Cette annexion nourrit une haine féroce qui conduisit entre autres
à la première guerre mondiale.
Mes parents, donc de nationalité allemande jusqu'en 1918, gardaient en mémoire la large autonomie
dont jouissaient ces régions.
La politique sociale de Bismark était plus avancée que celle de la République française.
La haine et la bêtise générèrent un nouveau conflit. Mon père vivait en Lorraine allemande.
Son frère s'engagea pour la France et mourut à Verdun.
Le désastreux Traité de Versailles annonçait la prochaine catastrophe.
Comment ne pas comprendre, nous Français, qui avions voulu retrouver, au prix du sang, l'Alsace-Lorraine,
que les Allemands ne pourraient passer par pertes et profits l'arrachement d'importants territoires
peuplés de leurs frères et qu'ils les réclameraient un jour ?
Ce fut d'abord Munich en 1938 et le retour du territoire des Sudètes, restitution hautement légitime.
La question de Dantzig mit le feu aux poudres et les historiens honnêtes savent aujourd'hui
que les offres de négociations de Hitler furent systématiquement rejetées.
L'ouverture progressive des archives dans différents pays rend justice aux nationaux-socialistes
dont la volonté de paix dans la justice fut volontairement ignorée.
Un historien finlandais, Erkki Hautamäki, a révélé récemment les troubles tractations
entre Soviétiques et Britanniques.
Laissons faire les historiens fidèles à la parole de Descartes dans le Discours de la méthode :
« Ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle »
Je m'en inspire tout au long de mon exposé.

Comme des paroles de Michel Onfray :

« J'ai dit que je préférais une idée juste d'Alain de Benoist
à une idée fausse de Bernard-Henri Lévy et si l'idée était juste
chez Bernard-Henri Lévy et fausse chez Alain de Benoist je préférerais
l'idée juste de Bernard-Henri Lévy »


– raisonnement empreint de sagesse. N'est-il pas philosophe ?




J'ai donc vécu sous la férule des « nazis » :

- dix-huit mois de travail dans une petite usine, en compagnie de techniciens
venus de différents pays occupés et d'Allemands non mobilisables.
Je percevais un salaire normal et bénéficiais des avantages sociaux reconnus
aux autochtones et même, après quelques mois, d'une formation professionnelle.
Les soins étaient gratuits.
Je jouissais d'une totale liberté en dehors des heures de travail, avec accès à toutes les offres culturelles,
université populaire, piscines, champs de ski, terrains de tennis, opéra et salles de concert.

En outre, je n'en ai pris conscience qu'il y a peu de temps :

- Pendant les dix-huit mois de mon séjour en Allemagne hitlérienne je n'ai pas une seule fois
été contrôlé par la police en ville ou à l'extérieur.

Il est, certes, évident que les sabotages ou autres actes délictueux étaient sévèrement sanctionnés.
Les seuls mauvais traitements que j'ai eus à subir furent le fait des Américains, des Russes et des Français…
Ce qui ne signifie nullement que les Allemands étaient de petits saints,
comme l'écrit un célèbre révisionniste vivant en exil en Russie.


Durant l'Occupation dans ma région, la Provence, les troupes allemandes se comportèrent
plus que correctement.
Notre maison avait été réquisitionnée pour le général et son état-major.
Je me souviens d'un colonel, le colonel Peper, qui me demanda un jour si le lycéen que j'étais
voulait bien l'accompagner dans la campagne varoise.
Je sautai sur l'occasion de pratiquer un peu la langue de Goethe ; hélas,
il parlait un français parfait comme le héros du Silence de la mer.
Il me démontra entre autres l'absurdité des guerres et déposa en moi les germes
du pacifisme qui a marqué mon existence.
Là où l'on n'assassina pas de soldats allemands il n'y eut pas de répression.
La signature d'un armistice n'interdit-elle pas de tels gestes envers un ennemi
qui fut relativement magnanime après sa victoire totale ?



Si l'on se reporte à l'interview accordée par Hitler à Bertrand de Jouvenel en 1936
on ne peut qu'être interpellé par les paroles du Führer recherchant avant tout l'amitié avec la France.
La question qui fâche concernant Mein Kampf fut posée par le journaliste. Je cite :

« Vous disiez pis que pendre de la France dans ce livre… »


Réponse de Hitler :

« J'étais en prison quand j'ai écrit ce livre.
Les troupes françaises occupaient la Ruhr.
C'était le moment de la plus grande tension entre nos deux pays.
Oui, nous étions ennemis !
Et j'étais avec mon pays, comme il sied, contre le vôtre. (…)
Mais aujourd'hui, il n'y a plus de raison de conflit.
Vous voulez que je fasse des corrections dans mon livre,
comme un écrivain qui prépare une nouvelle édition de ses œuvres !
Mais je ne suis pas un écrivain, je suis un homme politique.
Ma rectification ?
Je l'apporte tous les jours dans ma politique extérieure toute tendue vers l'amitié avec la France ! »




Churchill, à la même époque, pouvait dire :

« On peut ne pas aimer le système de Hitler et pourtant admirer son œuvre patriotique.
Si notre pays devait connaître la défaite, j'espère que nous trouverions un champion
aussi admirable pour faire revivre notre courage et nous permettre de reprendre
notre place parmi les nations. »





Lloyd George, premier ministre britannique durant la première guerre mondiale,
écrivit à la même époque après un voyage en Allemagne et une rencontre avec Hitler :

« Il y a pour la première fois depuis la guerre un sentiment général de sécurité.
Les gens sont plus joyeux.
Il y a un plus grand sentiment de gaieté spirituelle généralisé dans tout le pays.
C’est une Allemagne plus heureuse.
Je l'ai constaté partout, et les Anglais que j'ai rencontrés dans mon voyage
et qui connaissaient bien l'Allemagne, étaient très impressionnés par le changement »
(Daily Express, 17 septembre 1936).


Hélas, la guerre faisant rage, Churchill tint un autre discours le 13 mai 1940.
Il y est question de « mener la guerre contre une monstrueuse tyrannie, jamais dépassée
dans le sinistre et sombre catalogue des crimes humains » :

- la propagande dans tous ses excès au service de la folie guerrière… à un moment
où la bataille d'Angleterre n'avait pas commencé et où Hitler, espérant mettre fin aux combats,
avait retenu ses généraux à Dunkerque pour laisser se réembarquer le corps expéditionnaire britannique.


Mais il est apparu que Churchill était réfractaire à toute négociation de paix.
La haine de l'Allemagne prenait le pas sur tout autre sentiment.
Les princes anglais et allemands étaient pourtant apparentés mais il est clair qu'il s'agissait d’éliminer
un dangereux concurrent économique.
Churchill en vient à avouer « C'est notre guerre ».

Ce n'est pas le nazisme, l'ennemi, c'est l'Allemagne qu'il faut détruire.

Faut-il voir là une influence communautaire ?

Aujourd'hui, en France, Manuel Valls peut clamer « Je suis lié éternellement à Israël ».
Les mouvements juifs anglo-saxons n'avaient-ils pas déclaré la guerre à l'Allemagne
aussitôt après l'accession de Hitler au pouvoir ?

N'avaient-ils pas, eux qui géraient l'essentiel des matières premières dans le monde,
décrété le boycott radical des intérêts économiques allemands ?
(voir le Daily Express du 24 mars 1933, parmi d'autres publications)…

On comprend mieux que Berlin ait organisé une journée de boycott des commerces juifs !


Les dirigeants juifs internationaux se sentaient limités dans leur prédation
(c'est moi qui emploie ce terme), agressés par la politique nationale-socialiste hostile
au capitalisme sauvage, s'opposant à la prise d'intérêts
(l'un des points centraux du programme du parti national-socialiste :

- die Brechung der Zinswirtschaft)… Les banquiers juifs se sentaient pris à la gorge car,
hors l'intérêt bancaire, pas de profit…
Les Juifs se déclarèrent non seulement ennemis du Reich mais ils incitèrent tous les Juifs
dans le monde à combattre le national-socialisme.
Rien d'étonnant à ce que celui-ci restreigne leurs droits et, la guerre survenue,
les considère comme suspects et les interne en attendant l'issue du conflit.
Victimes malheureuses de l'amalgame furent ceux qui se sentaient profondément allemands,
parfaitement assimilés et désireux de servir leur patrie.

Il y eut d'ailleurs de nombreux Juifs dans la Wehrmacht.


Si l'on veut se faire une idée du traitement réservé dans les camps aux Juifs déportés
durant la guerre il n'est qu'à lire Elie Wiesel…, qu'à consulter les rapports de la Croix-Rouge
internationale visitant les camps, qu’à lire les études scientifiques démontrant l'impossibilité
des fameuses « chambres à gaz », à prendre connaissance du constat de l'Institut d'histoire
contemporaine de Munich selon lequel il n'y eut aucune chambre à gaz dans les camps situés
sur le territoire allemand alors que tant de témoignages reçus par la justice l'attestaient.
Ces témoignages valurent la potence à des fonctionnaires des camps de concentration convaincus
de crimes contre l'humanité.
Exit donc la fable de l'extermination des Juifs.
Ne tiendrait-on compte que du nombre considérable de « miraculés », de rescapés,
d'anciens détenus d'Auschwitz.
Ils seraient encore 130 000 en Israël !


****

Je fus, certes, marqué à la fin de la guerre par les horribles photographies prises
à la libération des camps et ma vie durant j'ai cherché à comprendre.
Je rédigeai d'abord à l'Université de Nice un mémoire sur la jeunesse hitlérienne.
Il m'apparut qu'on lui présentait Goethe comme un modèle et qu'on attendait d'elle
qu'elle soit exemplaire dans son comportement à l'intérieur des frontières et à l'étranger.

Ma thèse de doctorat fut consacrée aux œuvres d'un auteur célèbre, Rolf Hochhuth,
qui fut le premier à présenter Auschwitz sur scène dans sa tragédie Le Vicaire.
Longtemps après, Costa Gavras en fit un film sous le titre Amen.
Ensuite, durant des années je travaillai sur une thèse d'Etat consacrée à un sculpteur réputé
qui jouissait de la faveur de Hitler : Arno Breker (devenu un ami jusqu'à sa mort).
Grâce à lui je pris contact avec la plupart des personnalités n'ayant pas été pendues à Nuremberg,
de nombreux proches du Führer, j'interviewai les uns et les autres, également des victimes du IIIe Reich
comme le pasteur Niemöller, chef de l'Eglise protestante, incarcéré plusieurs années à Dachau.
Il me déclara avoir vécu dans un petit appartement dans le redoutable camp de concentration
qui disposait par ailleurs d'un grand jardin biologique où travaillaient les détenus…
Je fis maintes découvertes qui m'amenèrent à penser que rien n'est jamais noir ou blanc
et que la parole romaine Vae victis ! s'appliquait certainement à la réalité allemande.


J'ai écrit un article il y a quelques années sur Werner Naumann,
secrétaire d'Etat auprès de Goebbels, ami de Breker, devenu gentleman-farmer
en Westphalie et dont j'ai beaucoup appris à propos d'écologie.
Installé jadis au cœur du pouvoir, il finit par me convaincre qu'il n'avait aucune idée
des horreurs rapportées sur une quelconque « extermination » de Juifs.
Je n'ai pourtant rencontré, durant des dizaines d'années, que des Allemands absolument convaincus
qu'elle avait eu lieu, des Allemands qui n'avaient rien vu mais seulement entendu dire.
Les nombreux témoins des crimes nazis dont j'ai écouté les exposés ne faisaient
que reprendre des rumeurs.
Elie Wiesel lui-même les rapporte dans son ouvrage La Nuit mais son récit est la preuve
qu'elles étaient infondées puisqu'il choisit, avec son père, de se joindre aux bourreaux SS
pour évacuer Auschwitz au lieu d'attendre l'arrivée des libérateurs russes !
J'ai connu Jorge Semprun et relevé dans le livre relatant son séjour à Buchenwald qu'il se mit,
à la libération du camp, à la recherche du bibliothécaire pour lui rendre des livres empruntés.
Etonnant, non ? comme dirait Desproges.


Ce qui ne signifie nullement qu'il n'y eut pas des drames humains.
J'ai traqué les accusations de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité.

Pour exemple :

- La Luftwaffe a détruit la ville de Coventry.

On forgea même le vocable « coventrisation » pour caractériser cet acte « barbare ».
Je suis allé sur place pour me faire une idée.
Finalement, j'ai trouvé sous la plume d'un historien anglais, Frederik Taylor,
« Coventry était de fait (…) une cible légitime pour un bombardement aérien. ».
La ville comprenait beaucoup d'industries sidérurgiques, d'automobiles, d'avions, des usines de munitions.
Il est apparu en outre que ce raid était la réponse au premier raid anglais sur Berlin.

Autre exemple, l'invasion de l'URSS en 1941 :

- les mémoires du maréchal Joukov laissent entendre que son pays préparait
une agression de l'Allemagne et que celle-ci se lança en réalité dans une guerre préventive
.
Ce qui ne l'absout pas.
Un film proposé sur Arte montre que les armées allemandes furent souvent accueillies en libératrices !
L'histoire est un sujet bien complexe.
Elle ne vit hélas que de révisionnisme.

Les Allemands, peuple attachant en dépit du jugement de Napoléon qui expliquerait
la dévotion actuelle au culte de l'Holocauste et l'acharnement mis à poursuivre les esprits libres
le contestant avec des arguments imparables.

Napoléon aurait-il visé juste en écrivant :

« Il n'y a pas de peuple plus agréable mais aussi plus crédule que le peuple allemand.
Je n'avais pas besoin de semer la zizanie en son sein.
Il me suffisait de déployer mes filets.
Ils s'y précipitaient comme du gibier effarouché.
Ils se sont égorgés les uns les autres en pensant faire leur devoir.
Il n'est pas de peuple plus sot sur terre.
Quelle que soit l'énormité du mensonge que l'on puisse imaginer, les Allemands le croient.
Pour un slogan qu'on leur proposait ils poursuivirent leurs concitoyens avec plus d'acharnement
que leurs véritables ennemis. »



Je dirai que ce peuple a été en grande partie émasculé, terrorisé et cela en raison
du traitement auquel il a été soumis à la fin de la guerre, réduit à l'état d'esclave,
la nation détruite comme jamais nation ne le fut, pillée par l'Est et par l'Ouest,
rééduquée par la contrainte, en fait largement déshumanisée par le comportement
de ses vainqueurs échappant à toute morale.
Les tortures rapportées par des journalistes américains visitant après la guerre des centres
d'interrogatoire surpassent les horreurs des intégristes islamiques.

Dans ces circonstances que ne ferait-on avouer à un individu !

Le Tribunal de Nuremberg fut la plus inique manifestation d'une prétendue justice,
en réalité un tribunal de vainqueurs qui poursuit sa vindicte jusqu'aujourd'hui.

Nos « maîtres » ont même réussi à faire voter des lois – en France la loi Gayssot –
qui bâillonnent tout chercheur ne se pliant pas aux dogmes de la nouvelle religion de la Shoah.
La liberté d'expression n'existe que pour ceux qui n'émettent que des opinions acceptées
par les détenteurs du pouvoir
.


Le témoignage que je vous apporte ce soir, ainsi que les informations qu'il comporte,
a valu il y a quelques jours deux années de prison à un professeur de mathématiques,
Vincent Reynouard, qui avait osé, en notre démocratie exemplaire, exprimer son opinion
et faire état du résultat de ses recherches en histoire contemporaine.

A Munich, il y a quelques jours, une avocate, Sylvia Stolz, fut condamnée à un an
et huit mois de prison pour avoir tenu des propos semblables en Suisse
lors d'un congrès sur la liberté d'expression.

Je ne pense pas qu'ici, en Cévennes, terre de liberté, il y ait des délateurs ne supportant pas
que l'on puisse penser différemment.
Je vous en sais gré !

Est-il pensable, et pourtant cela fut, qu'un éminent historien français, Pierre Vidal-Naquet,
ait pu déclarer sans entraîner une réprobation unanime :

« Si j'avais tenu Faurisson entre mes mains je n'aurais pas hésité à l'étrangler » ?

Cela en dit long sur l'hystérie des croyants en la religion de la Shoah.

Les geôles allemandes sont encombrées de citoyens innocents coupables
de mettre en question le jugement du Tribunal de vainqueurs de Nuremberg en 1946
et de demander un débat libre et contradictoire sur tous ces sujets.








Je vous remercie. »


Jacques Vecker


****

Commentaires :



Parmi l'assistance figuraient trois Allemands, caractéristiques de l'état
de conscience actuel de leurs nationaux.

L'un d'eux se déclara profondément choqué par mes paroles faisant du Reich, selon lui,
« un lieu de délices » alors que… Ce monsieur, comme s'il n'avait rien entendu,
reprit les vieux clichés de la responsabilité unique de son pays, des crimes abominables qu'il commit, etc.

Il n'est pire sourd… Essayer de dire à un croyant que Jésus, s'il a vraiment existé,
n'était peut-être qu'un homme, ou à un musulman que…

Le second auditeur avait écouté attentivement et déclara avoir beaucoup appris.

Le troisième était déjà conscient d'avoir été manipulé durant des décennies.

Les Allemands ont été écrasés, dévirilisés, soumis à la volonté maligne de leurs vainqueurs.
Odieusement torturés puis rééduqués, condamnés à la prison à la moindre incartade éditoriale,
à la moindre parole non autorisée, ils sont littéralement terrorisés, soumis à la discrétion
d'une bien-pensance importée, humiliés jusque dans leur identité.


N. B.
Jacques Vecker s'est étendu sur ses souvenirs et ses expériences dans son livre
Conscience oblige sous le pseudonyme
de Isaac Adolphe Schlingelstein,
Editions de Vaugran, 30 480 - St Paul-la-Coste (10 euros).

http://www.sauramps.com/pages/evenement ... nce-oblige

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Cordialement.

"Ce qui se conçoit bien, s'énonce clairement,
et les mots pour le dire arrivent aisément."


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MessagePosté: Lun Aoû 17, 2015 11:35 am 
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Churchill en vient à avouer « C'est notre guerre ».

Ce n'est pas le nazisme, l'ennemi, c'est l'Allemagne qu'il faut détruire.


date ? référence ?


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MessagePosté: Mar Aoû 18, 2015 8:18 am 
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François Delpla a écrit:
Churchill en vient à avouer « C'est notre guerre ».

Ce n'est pas le nazisme, l'ennemi, c'est l'Allemagne qu'il faut détruire.


date ? référence ?


Vous pouvez contacter Mr J.Vecker : adresse bas de page.

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MessagePosté: Mar Aoû 18, 2015 8:21 am 
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- POUR INFO -

Jacques Vecker écrit à Patrick Modiano.

Patrick Modiano, célèbre romancier français, a prononcé un discours,
le dimanche 7 décembre, à Stockholm, en Suède, pour la réception
de son prix Nobel de littérature qui lui a été décerné le 9 octobre à Oslo.
A la lecture de ce discours publié par "Le Monde", voici la lettre ouverte
que lui adresse ce jour 29 décembre notre ami Jacques Vecker:

< START>

" Cher Patrick Modiano,

Lors de votre discours de Stockholm à l'occasion de la remise du prix Nobel
de littérature j'attendais de vous un coup d'éclat qui eût ébranlé l'atmosphère.
En qualité de scientifique, de penseur, affirmant de surcroît appartenir
à la communauté juive frappée par la déportation de milliers de ses membres,
après septante années de maltraitance des faits vous eussiez pu éprouver le besoin
de ramener une indéniable persécution à ses dimensions réelles, mettant ainsi un terme
aux poursuites engagées contre ceux qui tentent de rétablir la vérité historique.
Etre né en 1945 vous a "rendu plus sensible aux thèmes de la mémoire et de l'oubli".
Il n'est rien de plus nécessaire du point de vue historique que cette mémoire tende
à rendre compte de faits réels et non à entretenir des légendes délétères.
Il importe, après des décennies marquées par une mystification cyclopéenne,
de rétablir la vérité, du moins dans la mesure où les documents et les faits peuvent
la présenter et la reconstituer.
En abordant la mémoire il ne peut s'agir en aucun cas d'une oeuvre de fiction
ou d'une construction romanesque.
"Sauvé par le sport", dites-vous en évoquant le destin d'un déporté.
Sauvé en réalité essentiellement par le simple fait que jamais extermination
ne fut programmée ni à plus forte raison mise en oeuvre...
Il est question d'un match de boxe à Auschwitz où d'ailleurs les installations sportives
ne manquaient pas, où les musiciens pouvaient répéter, où les sages-femmes
mettaient des bébés au monde (pourquoi donc, s'ils étaient voués à l'extermination?),
où l'hôpital du camp soignait correctement les prisonniers, promis, dit-on,
aux mythiques chambres à gaz, fidèle en cela à sa vocation médicale.
Ce n'est pas Elie Wiesel qui me contredira !
Les colis de la Croix-Rouge étaient distribués, etc.!
Evidemment, si l'on en était capable il fallait travailler, en compagnie d'ouvriers libres.
Quant aux raisons qui conduisirent des gens de toutes origines dans ces camps
elles sont différentes et à mettre au compte de la guerre.
Les drames n'arrivent pas sans raison.
Ne sont-ce point les organisations juives mondiales qui déclarèrent la guerre
à l'Allemagne dès 1933, immédiatement après l'arrivée de Hitler au pouvoir ?
Elles décrétèrent le boycott des produits allemands et déclarèrent que tout Juif,
où qu'il soit, était un ennemi actif du IIIe Reich.
La presse de l'époque en témoigne amplement. Etonnez-vous, après cela, que,
après le début de la guerre, les Juifs n'ayant pas quitté le pays soient traités
en ennemis et relégués dans des lieux de concentration ou de travail en attendant
la solution finale territoriale envisagée.
Il serait temps par ailleurs de s'intéresser aux véritables responsables de la guerre !
La douleur ressentie par les victimes des outrages de l'époque est la même
pour tous ceux qui furent frappés.
Deuils et larmes se répondent.
Toutes les nations ont souffert, la plupart infiniment plus que vos coreligionnaires,
compagnons de race, d'ethnie ou d'origine, mais ils n'en ont pas fait un cas d'école
enseigné abusivement urbi et orbi au mépris de la plus élémentaire objectivité historique.
La mystification de l'Holocauste, pour reprendre les termes de Arthur Butz,
aurait pu tout aussi bien rameuter le ban des massacreurs ­ réels ceux-là ­ du goulag
et des entreprises du même ordre, y intégrer les aventures coloniales et réduire
l'histoire à un catalogue d'horreurs dont peut-être la plus horrible serait l'écrasement
sauvage de l'Allemagne et le traitement à elle infligé après la fin des hostilités...
pillée et violentée au-delà de toute expression.
En raison de quelles vertus, encore soumise à ses bourreaux,
caracole-t-elle en tête des nations européennes ?
La question mérite d'être posée...

Voilà, cher Patrick Modiano, l'oeuvre insigne qu'il vous était donné d'accomplir:

- la réhabilitation de l'Allemagne et la mise au clair de l'Histoire,
pour notre bien à tous et que je persiste à proposer à votre idéalisme.
Robert Faurisson sera certainement prêt à vous aider tout comme il réussit
à confondre les accusateurs d'Ernst Zündel au procès de Toronto.

Soyez salué avec cordialité."


Jacques Vecker

" Libre expression "

Château de Vaugran

30 480 - St Paul la Coste

Noël 2014

< END>

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Cordialement.

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MessagePosté: Mar Aoû 18, 2015 10:50 am 
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Inscription: Sam Juil 01, 2006 8:20 am
Messages: 6779
Paolo Costes a écrit:
François Delpla a écrit:
Churchill en vient à avouer « C'est notre guerre ».

Ce n'est pas le nazisme, l'ennemi, c'est l'Allemagne qu'il faut détruire.


date ? référence ?


Vous pouvez contacter Mr J.Vecker : adresse bas de page.





Boisbouvier ressuscité ?

merci de relire la charte... et de l'appliquer


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MessagePosté: Mer Jan 20, 2016 12:14 pm 
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Ce silence de bientôt six mois en dit plus long qu'un long discours.


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MessagePosté: Mar Juin 21, 2016 10:06 pm 
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C'est pourtant évident qu'avant 14 l'Allemagne est la grande puissance rivale de l'Angleterre et même des Usa, la puissance montante. Après 45, l'Allemagne n'est plus : coupée en deux, occupée par des étrangers. Il y a bien un avant et un après.
L'Allemagne a bien été effacé des tablettes.


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MessagePosté: Mer Juin 22, 2016 2:52 pm 
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Messages: 6779
svp, ne prenez pas le relais d'un négationniste déserteur !

Dans un esprit constructif j'ai essayé d'extraire de ses posts péremptoires, impersonnels, autistes et contraires à la charte un sujet de discussion : l'Allemagne porte-t-elle la même responsabilité dans le déclenchement des deux guerres mondiales ?

Votre avis sur le sujet ?


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MessagePosté: Mer Juin 22, 2016 6:25 pm 
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En 14, c'est une affaire austro-serbe qui dégénère en affaire russo-allemande etc.
En 39 c'est une affaire germano-polonaise qui dégénère en affaire britannico-franco-allemande.
Dans les deux cas la France n'était pas obligée d'intervenir. Dans les deux cas, elle l'a payé très cher.
L'Angleterre a fini par le payer, mais beaucoup moins cher.
Quant à l'Allemagne, elle a tout perdu.

Il est facile de tout mettre sur le dos du grand perdant : l'Allemagne. La vérité est plus nuancée.
Je pense donc que les responsabilités sont partagées.


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