Le fait qu'il ne réponde pas à des méls privés et constructifs (tout en les recevant puisque un membre de son équipe en a parlé sur la Toile) situe mieux cet aigre pas fin, à mes yeux, que ce qu'il a pu dire ou faire en politique.
D'autre part, comme il n'intervient que rarement sur PH et n'a pas l'air de se mêler de la modération, soit il tire les ficelles et cache bien son jeu, soit (et j'ai quelques raisons de le penser) il s'en fiche complètement et laisse son équipe arbitrer de plus en plus arbitrairement. Il a perdu de fait toute autorité sur elle. Ce qui l'intéresse, c'est d'inscrire sur son CV "Administrateur de Passion-Histoire".
Auquel cas je lui suggère, une fois de plus, de bien réfléchir. Il devrait mettre au contraire, et d'urgence, tout son poids dans la balance pour corriger ce qui doit l'être, faute de quoi il n'y aura bientôt plus de quoi se vanter.
Ce qui est à corriger c'est effectivement l'arbitraire. Il faut qu'il y ait une loi, et que tous s'y tiennent. J'ai été banni pour avoir, paraît-il, mal résumé un débat sur mon site : un motif grotesque et un constat discutable, mais surtout un délit absolument pas prévu dans la charte. Dans le même ordre d'idées, un fait que j'ai constaté à mon encontre mais aussi, en allant voir comment cela se passait sur d'autres fils dont je maîtrise les sujets : il arrive fréquemment que les modérateurs oublient leur rôle en participant eux-mêmes et passionnellement à la discussion, à plusieurs, dans le même sens et souvent aux dépens d'un internaute unique, serré comme dans une chasse à courre; pire, leur propre règle, publiquement exposée, veut que celui qui entre dans l'arène laisse au vestiaire sa casquette de modérateur ou, inversement, que celui qui modère ne participe pas à la discussion. Une règle actuellement complètement oubliée.
Exemple : un fil sur le totalitarisme, surtout en ses huit premières pages
http://www.passion-histoire.net/n/www/v ... &start=120Raguse, à qui je faisais honte de son comportement par l'intermédiaire du forum de Bruno, s'est brusquement excusé de s'être énervé. Après quoi il a nettoyé le fil. Je l'ai sauvegardé et le tiens à la disposition des intéressés.