Allons... on est officiellement en guerre dixit notre président depuis nov. 2015, ce fabuleux 15 novembre (des centaines d'innocents fauchés par les guerriers de l'islam), vous avez déjà oublié ?
Vous pensez qu'une population développée ne peut plus revenir au monothéisme ? Possible... mais à l'heure actuelle cette population est remplacée par des vagues de migrants et leur descendance toujours plus nombreuse... ces vagues de migrations qui ont commencé dans les années 70, et qui aujourd'hui se traduisent par un tout-venant à raison de milliers par jour (appelés pudiquement "migrants")... une immigration illégale qui devient légale... plus d'un million en 2015, sans doute 3 millions en 2016, 10 millions en 2017 ? Tout est possible. La population de la France comme vous le voyez est remplacée, tout simplement, c'est factuel. Votre population développée et athée n'a donc aucune importance pour l'avenir. Elle est submergée par les immigrés musulmans, qui eux, vous pouvez en être sûr imposent leur monothéisme, leur chariah partout sur le territoire : halal, voile, langue arabe, mosquées, grandes mosquées, imams, etc. et par leur poids démographique toujours plus pressant sont appelés à dominer la France et l'Europe.
Mais il s'agit sans doute encore là d'une autre réalité que vous feignez d'ignorer.
J'aimerais ici poster la page 418 du livre de Jean-Claude Chesnais
Histoire de la violence, intitulée "vers la violence raciale", il écrit en 1970 avec une grande justesse sur l'avenir, il prédit l'immigration de masse des pays musulmans en Europe, et les violences inhérentes à ce mouvement :
Jean-Claude Chenais, Histoire de la violence a écrit:
dans les pays à très basse fécondité relative (...) il est probable que l'immigration pourrait prendre un tour massif. La question des rapports entre communauté nationale et communautés immigrées pourrait devenir brûlante, compte-tenu de leurs différences culturelles et économiques. Quand tout sépare : langue, civilisation, moeurs, niveau de vie, couleur de peau, religion, etc., les risques de heurts sont grands. (...) de plus par ses caractéristiques propres (...) la population migrante est structurellement portée à la violence : à dominante masculine, jeune, pauvre, rurale, célibataire, déracinée. Au complexe social vient s'ajouter le complexe racial.