La vérité est sans doute intermédiaire : des lieux de détention assez bien surveillés sous le tsar, mais nettement plus peuplés sous Staline, et un totalitarisme rendant les perspectives d'évasion, tant vers la Russie que vers l'étranger, nettement plus aléatoires.
Mais avons-nous épuisé le sujet pour dériver ainsi ?
J'y reviens donc, en rappelant l'énormité boisbouvière initiale, à propos de Hitler :
boisbouvier a écrit:
C'est à partir de Munich (septembre 38) que son impérialisme et son bellicisme sont devenus si évidents.
Si Staline avait préféré à ce moment-là signer avec l'ouest, qu'est-ce qui l'en empêchait ?
Quelle démarche diplomatique a-t-il fait en ce sens ?
Il a attendu la suite des évènements, sans bouger.
Munich détourne Staline de l'Occident, en douchant tous ses espoirs d'entente. La vision qu'en avait Michel lorsqu'il écrivait cette faribole montre qu'à cette époque n'importe qui pouvait faire n'importe quoi, ce serait toujours de la faute des Rouges.
As-tu évolué, même un peu ? t'es-tu informé, fût-ce dans d'élémentaires manuels ?