Bonsoir. Michel, deux petits détail: il me semble que le frente popular n'avait pas plus pour objectif la révolution que ne pouvait l'avoir son pendant français, mais que élu démocratiquement, il entendait mettre en route des réformes sociales.
D'autre part, le syndicat majoritaire en Espagne était la C.N.T., avec 2 millions d'adhérents, et il était anarchiste, bête noire des communistes.
Il me semble que le coup d'état à lieu le 17 juillet, et que les partis populaire, avec la C.N.T. engagent la révolution le 18 en réponse au pronunciamento (Je ne suis plus sur de mes dates
). Ancien militant anrcho-syndicaliste, j'ai eu droit aux récits des anciens de la guerre civile espagnole (je ne les ait pas notés sur le moment et j'en ai oublié une grande part;
non François pas taper!!!!) ainsi qu'aux célébrations du souvenir qui se déroulaient toujours à Toulouse . Alors entendre dire que le franquisme dans sa mensuétude a évité aux espagnols la dictature communiste me laisse pensif. Amitiés. Bernard