Bonjour et bienvenue
merci de votre intérêt
et surtout merci d'avoir pris toute cette peine pour l'expliciter. Ce n'est qu'un début, j'espère !
Laurence ? Je ne vois pas, et ne me souviens même pas d'une dédicace à Argenteuil. Peut-être était-ce en privé ? et sans doute n'est-elle plus là, et n'a-t-elle pas su intéresser ses héritiers à ses batailles ou du moins à la lecture. Mais peut-être cela va me revenir juste après avoir posté !
Je considère la Toile et ses forums d'histoire comme un orgue, dont, en fonction des pièces jouées, certains claviers servent plus que d'autres. Celui-ci est plutôt un accordéon, alternant les périodes de dilatation et de rétractation. Les individus jouent, comme dans le nazisme, un grand rôle. A commencer par moi-même, qui au cours de la dernière année ai dû réduire drastiquement mes prestations internautiques pour me consacrer à l'écriture d'un petit pavé récapitulatif sur le Troisième Reich. Je me suis refusé à bannir Michel Boisbouvier pour délit d'opinion, il paraît que cela a fait fuir certains, tant pis, les principes avant tout ! Non seulement la "liberté d'expression dans le cadre de la loi", mais la préservation des espèces en voie de disparition. Si on est historien ou amateur d'histoire, on doit se réjouir de voir agir et penser un pétaino-lavaliste en bon état (français). C'est lui qui s'est lassé, notamment par son mépris assumé de la charte et il nous a rendu par là un dernier service, en montrant ce qui est admissible et ce qui ne l'est pas.
De même, parmi les gens qui me parlent avec un irrespect qui vous choque figurent des négationnistes de la Shoah... ou peut-être un seul, sous divers masques. Ici, l'intérêt est double : montrer que la loi Gayssot, que je réprouve, n'est pas utilisée par des particuliers ni par l'Etat pour fermer un espace comme celui-ci, ce qui relativise sa nocivité (celle de la loi s'entend); montrer le ridicule de ces gens-là, que je laisse s'exprimer en ne censurant à l'occasion que les redites, et que j'incite à préciser leurs analyses de façon méthodique : leur fuite plus ou moins rapide édifie tout le monde.
Qu'il y ait du neuf à trouver sur Hitler, je le constate un peu plus chaque jour, en ajustant mes microscopes sur sa folie et son art wagnérien de la fresque. Cela me vaut des horrescos que j'ai la faiblesse, ou la force, de trouver encourageants. Voir, par exemple, la rubrique "Invectives"
http://www.delpla.org/rubrique.php3?id_rubrique=22 , centrée sur les réactions à ma thèse sur Dunkerque -un de mes coeurs de recherche depuis vingt ans. Ici même
viewtopic.php?f=29&t=27 , une équipe s'est activée pour me donner la réplique, basée elle-même sur le forum ATF 40
http://atf40.forumculture.net/ qu'elle gère en m'appliquant une répression intermittente et en épinglant à répétition toute erreur de détail -mienne bien entendu. Tout cela présente infiniment plus d'avantages que d'inconvénients, pour moi bien évidemment, mais même pour l'histoire, même si des naïfs se laissent aller à croire qu'il n'y a rien d'intéressant dans mes ouvrages : ils n'avaient pas besoin de cela pour ne pas les ouvrir.
En ce moment je mène en temps réel, depuis une semaine, une recherche sur un angle mort de l'histoire, le dynamitage des synagogues parisiennes dans la nuit du 2 au 3 octobre 1941. Je me suis heurté en particulier à un chercheur non universitaire qui publie des livres depuis quelques années, Olivier Pigoreau, et après un grand mépris initial, prompt à généraliser cet exemple pour s'en prendre à mes méthodes dans leur ensemble, il commence à manifester un vif intérêt. Cela se passe sur le forum beige
http://www.39-45.org/viewtopic.php?f=17&t=37649&start=0 et peut à tout moment se prolonger ici. Il suffit que quelqu'un, moi peut-être, clique sur "nouveau" dans un "forum" approprié, par exemple ici
viewforum.php?f=84 .
En revanche, c'est à moi qu'il revient d'ouvrir, suivant la même terminologie, les nouveaux forums. Ce n'est pas un choix et résulte des coups de main que m'ont donné, pour bâtir cet espace, divers techniciens. En attendant une réforme souhaitable, on peut m'écrire, de préférence par e-mail (contact arrob delpla.org) et, pour conclure provisoirement, je vous invite à m'exprimer vos desiderata.